Encore des papillons. Cette fois des lourds, des très lourds sur mes épaules. Quelques pépites pailletées sur ma peau et une aphrodisiaque odeur encrée à jamais. Presque un mois sans nouvelles de toi. Tes bras qui serraient très, très très très fort. Mes pieds ne touchaient plus terre, ma vision éthanolisée était devenue tornade lorsque tu m'as enlacée. A croire qu'on m'avait coupé les ailes pendant presque 1 mois.
Tu sais, le 05.06.2010, je me suis remise à voler.
A cause, ou grâce à toi.